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211208 : retour vers le passé...
Le roji, jardin de thé avec la cabane à thé (chashitsu) et le bassin aux ablutions (tsukubai)

Une petit retour vers le passé donc. Hiver 2006, le jardin ne ressemblait encore à rien. Le temps d'une journée, chose exceptionnelle, la neige est tombée, et telle une gomme magique, elle a tout effacé, me révelant cette beauté du vide. Je me souviens surtout des sons, ou plutôt de leur abscence... tout était feutré...
En regardant ce spectacle d'un jour, quel plaisir ai-je eu à boire un bon thé, il m'a réchauffé l'âme.

Bonnes fêtes de fin d'année à toutes et à tous !


 


251108 : interlude
Le roji, jardin de thé avec la cabane à thé (chashitsu) et le bassin aux ablutions (tsukubai)

Jean-Claude est un homme de thé... Son jardin, situé dans la région nantaise (44), est un écrin propice aux chanoyû qu'il organise régulièrement... Jean-Claude est libre, ne se réclame d'aucune école particulière et tente, en s'appuyant sur les textes du Nanboroku (ouvrage écrit à la fin du XVIe siècle par Nanbou Soukei, un proche du maître), de retrouver le thé simple (wabicha) tel que Sen no Rikyû le pratiquait ... à l'ombre des érables et des bambous un tsukubai et son magnifique ishidôrô de style Oribe, vous invite à pratiquer les ablutions rituelles avant de pénétrer dans Kashiwa-an (柏庵 litt. "hutte du chêne"), le chashitsu construit par l'hôte des lieux... "wa kei sei jaku" : harmonie, respect, pureté, tranquillité... tout ici donne envie de se poser, de se mettre hors du temps, de "faire pause"... sans doute est-ce dû à toute l'attention que Jean-Claude met en oeuvre pour que ses invités passent un merveilleux moment d'éternité et de partage ... Jean-Claude est un homme de thé.

Je vous laisse apprécier.



251008 : Tokumei teien

Poursuivons notre série "tokumei teien" avec cette petite maison dans le style traditionnel. Deux étages et une climatisation (que l'on aperçoit cachée derrière les sudare assurant un peu d'intimité aux occupants). Un minuscule jardin caché par le mur extérieur, comme le laisse présager le momiji 紅葉 (litt. "feuilles écarlates") dont la cîme dépasse du mur d'enceinte. La place manquant à l'intérieur, le jardin a gagné les abords proches de l'habitation, un peu comme si la Nature avait réussi à prendre le dessus sur cet univers urbain où le béton est roi. Réalité ou utopie, il n'en est pas moins, que cela rend l'environnement beaucoup plus agréable à vivre.

Au premier plan, un petit rectangle de terre recouvert de couvre-sol, accueille 3 plantes (on n'insistera jamais assez sur l'importance de ce nombre dans la culture nippone), de tailles différentes, leurs sommets formant un triangle irrégulier et organisé sur un schema "1 + 2" (le prunus à gauche est seul, tandis que le conifère et le mahonia forment un groupe). Chacun est méticuleusement entretenu et taillé afin de contenir son expansion (il n' y a qu' au Japon que l'on peut voir des arbres plantés à 50 cm d'un mur d'habitation !).Une pierre de forme conique vient combler l'espace entre le prunus et le conifère, apportant visuellement un peu plus de poids vers le prunus, qui semble bien léger sans ses feuilles. L'ensemble fonctionne parfaitement bien avec le feuillage du momiji, apportant un contraste intéressant vert/rouge (couleurs complémentaires). Notons que la strucure courbée recouverte de bambou (qui sert à abriter de la pluie les fondations du mur et qui est typique de Kyôto) procure une toile de fond au motif répétitif vertical qui vient contraster avec celui dessiné par les carreaux de céramique,

Bien que modeste, cet ensemble, loin d'être un chef-d'oeuvre, démontre pourtant que tout l'art du jardin japonais ne réside pas dans l'accumulation d'objets stéréotypés, mais bel et bien dans une organisation "équilibrée" d'éléments naturels. En d'autres termes ce n'est pas tant les éléments constitutifs qui sont importants, mais la relation que le jardinier crée entre eux.

 


140908 : A.C.S.

akido club soustonnais

Beaucoup, beaucoup de choses à faire en ce mois de rentrée... Aussi les mises à jour de ce site et les travaux dans le jardin ne se font pas au rythme que je le souhaiterai... pas grave, il faut savoir être patient dit-on. Puisque je vous ai fait profiter d'un petit interlude en vous présentant le jardin d'Isabelle il y a peu, je voudrais ouvrir une nouvelle parenthèse pour vous faire part de la création d'un club d'aïkido dans notre petite ville de Soustons.

A cette occasion, j'ai dessiné le logo du club, qui vous le constaterez, reste très végetal ! Notre région est bien connue pour ses pins et cet arbre majestueux, très souvent présent dans les jardins japonais, symbolise l'attente (le mot "pin" et le verbe "attendre" , sont des homophones en japonais), mais aussi, la persévérance, la droiture, la longévité... ensemble de termes qui me semble parfaitement appropriés à l'idée que je me fais d'une pratique martiale. Voilà pourquoi j'ai choisi le pin pour représenter notre club. Je me suis inspiré du traité graphique des armoiries familiales traditionnelles japonaises (montsuki) pour styliser le pin, et un "enso" zen vient cercler l'ensemble.

Pour en revenir à la symbolique des plantes, très utilisée à l'époque Heian, elle peut être un bon point de départ pour la création d'un jardin d'inspiration japonaise. Grâce à ce "langage des plantes", on peut raconter une histoire ou élaborer des "images poétiques" (voir la partie shinden-zukuri). De ce point de vue, le cerisier-pleureur planté par Isabelle (voir ci-dessus) n'est pas sans apporter une certaine touche de mujô ( terme qui évoque l'impermanence des choses, et la mélancolie qui s'y rattache mono-no-aware). Le jardin n'est plus seulement un "joli tableau", mais il nous délivre alors un message, une "impression" transmise directement par son créateur. Pour en savoir plus sur ce sujet, je ne saurai vous conseiller, une nouvelle fois, l'excellent ouvrage de M.P. Keane, L'Art du Jardin au Japon, dont le chapitre dédié aux jardins de l'époque Heian est très explicite. Un petit lexique poétique est présent page 40.

Mais refermons cette parenthèse : si vous habitez dans les environs de Soustons, et que vous cherchiez à pratiquer un budô dans une ambiance sympatique, venez nous rejoindre à l' Aïkido Club Soustonnais, les lundi et jeudi de 20h00 à 21h30, au dôjo du Hall des Sports (près du lac).

 


160808 : tokumei teien (jardin anonyme)
tsuboniwa kyoto

Après un petite trève estivale, débutons le premier billet de ce mois d'août, déjà bien entamé, avec un nouveau "tokumei teien" . L'exemple type de ces minuscules jardins de rue qui peuvent très bien trouver place sur un balcon ou au fond d'une cour. Celui-ci se trouvait le long d'un trottoir, simplement caché du regard par une haie basse de végétation. Organisé dans un rectangle d' à peu près 4 x 2 m, il est composé d'un tsukubai et d'un bac en bloc de granit acceuillant bambous et fougères pour l'essentiel. Les dalles rectangulaires utilisées pour le pavement, trouvent écho avec les blocs du bac et les carreaux de céramique du mur du fond. Ces formes géométriques confèrent à l'ensemble un côté "shin", que seule la forme courbe du chôzubachi vient adoucir. Malgré son côté très anguleux, ce petit jardin reste très naturel, en partie grâce à la présence de la mousse et des petites plantes poussant au pied et en dehors du bac, comme si elles avaient poussées là spontanément, de manière fortuite.

Ce genre d'aménagement pourra être réalisé assez facilement dans un cadre privatif. Il faudra veiller cependant à la sélection des éléments qui devront être irréprochables. En règle générale, moins vous avez d'éléments, plus ils doivent être qualitatifs. Dans ce cas précis, le chozûbachi et les blocs de pierre sont les éléments majeurs qui ont sans doute monopolisé toute l'attention de son ou ses concepteur(s).

 



le 200708 : Feuilletage vidéo !

Les ouvrages de Katsuhiko Mizuno sont tout simplement superbes. Il n' y a pas d'autre qualificatif. Ce photographe sait mieux que quiconque capturer la beauté des jardins nippons et tout particulièrement ceux de Kyôto (les plus célèbres, comme les plus privés). Les centaines de photos couleurs présentes dans chacun de ses livres m'ont beaucoup aidé lorsque je me suis lancé dans l'aménagement de mon jardin. J'y ai trouvé largement de quoi m'inspirer ! Je vous invite donc à découvrir au travers de "feuilletages vidéo", 3 de ces somptueux ouvrages qui trouveront, je n'en doute pas, une place de choix sur les étagères de votre bibliothèque. Bonne lecture !

 


le 200708 : Kyôto deshita !

La réponse au précedent post était donc Kyôto ! L'indice pouvant vous mettre sur la voie était la petite lampe portable sur laquelle figure l'inscription : "おこしやす" (okoshiyasu) qui en dialecte local, est l'équivalent de "ようこそ" (yôkoso) qui signifie "Bienvenue".
Bravo à Denis qui a trouvé la réponse !

 


le 160708 : tokumei teien (jardin anonyme)
Jardin Kyoto

Bien que ce site soit avant tout dédié aux jardins japonais classiques, il m'a semblé intéressant d'y évoquer un aspect plus "quotidien" et contemporain des jardins nippons. La nature est omniprésente dans la vie et l'habitat des japonais, il serait d'ailleurs bien difficile de dissocier les deux. C'est pourquoi on trouve souvent de minuscules jardins dans des lieux improbables comme le coin d'une rue, sous un porche, à l'entrée d'un magasin, etc. J'ai toujours été fasciné par la beauté de ces espaces réduits qui concentrent tant de "ki " (d'énergie vitale) et de "wa " (harmonie proprement japonaise). Plus le lieu est petit, plus le résultat est intéressant; voilà qui devrait briser l'idée reçue que "jardin japonais" = "grand espace avec étang et pont rouge" !
;-)

Régulièrement, je vous proposerai des photos de ce que j’appelle "tokumei teien" ou "jardins anonymes", sources inépuisables d'inspiration pour ceux d'entre vous qui n'auraient que quelques mètres carrés de jardin, une cour intérieure ou un balcon. La première d'entre elles (ci-dessus), est une photo prise dans l'entrée d'un restaurant. Le tsukubai et son ENORME chozûbashi constitué d'un bloc de pierre à la cavité naturelle (shizensekichôzubachi 自然石手水鉢), vous fait vérifier par deux fois l'état de propreté de vos mains avant de pénétrer ce “temple gastronomique” ! On aperçoit distinctement les deux pierres à usage spécifique (yakuishi 役石) placées devant le chôzubachi : la teshokuishi 手燭石 (litt. pierre pour bougie) sur la gauche sur laquelle est posée une lampe portative et la maeishi 前石 (litt. pierre de devant), grosse pierre plate légèrement surélevée permettant de s'accroupir sans salir ses vêtements. L'ensemble très "naturel" (style ) est contre-balancé par les pavages nobedan 延段 utilisant des pierres taillées (kiriishijiki 切石敷) assemblées de manière rectiligne (style shin/shin). Une "canalisation" de bambou (kakehi ) et un tôrô 灯籠 viennent compléter ce tableau d'accueil.

La végétation est agencée sur trois niveaux : haute, médiane, basse. Erables et camélias constituent la première (ainsi qu'une glycine, fuji , courant sur la pergola en haut à gauche de l'image) ; nandines, spirées et azalées la seconde ; et enfin ophiopogons et diverses herbacées pour la dernière. Cette répartition végétale se retrouve souvent dans de nombreuses compositions classiques, elle constitue un moyen de créer une harmonie naturelle.

A noter également la barrière de planches de bois visible sur la partie droite et haute, qui pourra être reproduite dans le cadre d'un projet personnel d'aménagement de jardin, et qui surtout, viendra remplacer plus facilement les chaumes de bambou encore trop difficiles à trouver dans nos régions (à ce propos, si vous avez des filières, n'hésitez pas à faire partager l'info !). Les planches sont clouées en quinconce le long de tasseaux de bois horizontaux.

Pour terminer une petite devinette : sauriez-vous dire dans quelle ville j'ai pris cette photo ? Il y a un indice qui peut vous laisser supposer du lieu en question... Une idée ? Il n' y a rien à gagner, si ce n'est l'occasion de se cultiver un peu.
;-)

 


le 080708 : un voyage au japon pour moins de 20 euros !




Bon, OK, c'est avant tout un voyage spirituel qui vous est ici proposé... mais après tout, les karesansui (jardins secs) ont toujours été des supports à la contemplation et une invitation à l'évasion, au voyage "par l'esprit", et bien ce livre en fera de même si tant est que vous vous y plongiez !

De belle facture, "Vivre au Japon" comporte de magnifiques photographies et peu de textes, organisés en "chapitres" présentant plusieurs aspects de l'habitat japonais traditionnel et moderne. Certaines photos (pleine page et double page) nous transportent dans le célèbre ryokan Tawaraya, dans la Sugimoto machiya, mais aussi dans la maison "4x4" du célèbre architecte Tada Ondo. Un grand bravo aux éditions TASCHEN et Alex Kerr (grand spécialiste et amoureux des machiya qu'il sauvegarde au travers sa fondation) qui prouvent qu'il est encore possible de réaliser des livres de qualité à un prix abordable.

Petite nouveauté : je vous propose un "feuilletage vidéo" de ce livre sur les pages "Ressources" qui viennent d'être relookées. A terme, tous les ouvrages auront leur présentation vidéo. En espérant que ce système vous soit utile !

 


le 050708 : Un "chêne-soleil" peut-il brûler ?

OaksunDans quel univers peut vivre un "chêne-soleil" ? C'est la question que je me suis posée en découvrant le blog tropiques-japonaises.fr de Stéphane Barbery alias "Oaksun". J'ai trouvé des bribes de réponses dans ses posts. Et puis il y a ses photos aussi qui en disent long (sur flickr.com), et qui pour certaines m'ont emotionnellement "wabisabisé". Et puis, il y a "Yûgen no Ma", un projet de reportage dont la veine conductrice sera le jeu de Go... Et puis, et puis, et puis... Si Stéphane Barbery est un "chêne solaire", ses e-écrits, sont de vraies poupées russes !

Dans quel univers peut vivre un "chêne-soleil" ? Finalement peu importe la réponse, tant ce monde est riche, intéressant, passionnant, déboussolant. Alors : promenons nous dans les bois et gare aux brûlures !

 

 

 


le 210508 : in volubilis verita

En échangeant dernièrement un email avec Denis (un fidèle lecteur de la première heure et créateur du blog Fullhouse-niwa) au sujet des fleurs, ou plutôt de la quasi absence de fleurs dans un roji, j'ai évoqué l'épisode des volubilis de Sen no Rikyû (1522-1591). Je me suis dit que c'était une belle occasion de faire partager cette histoire qui a beaucoup influencé la conception de mon jardin, à tous ceux qui ne la connaissent pas. Elle illustre parfaitement le rapport aux fleurs du célèbre maître de thé, et apporte un éclairage supplémentaire sur la définition du terme wabicha.

Au préalable, quelques petites précisions historiques pour ceux qui en auraient besoin : en 1580, à l'âge de 58 ans, Sen no Rikyû devient maître de thé auprès de Oda Nobunaga, premier daimyô à entreprendre l'unification du Japon en menant des campagnes militaires contre des clans adverses. A sa mort, c'est l'un de ses fidèles généraux qui prend le pouvoir et qui continue cette entreprise d'unification de la nation. Ce général, c'est Toyotomi Hideyoshi. Issu de classe modeste, dans un pays et une époque où il est impensable d'échapper à sa condition sociale, il réussit son ascension dans l'armée puis la politique, grâce à sa détermination sans faille et son incroyable ambition. Si ce fait est remarquable à ce titre, Hideyoshi n'en est pas moins un farouche guerrier connu et redouté pour ses accès de colère, son esprit belliqueux et son caractère arrogant ; certains historiens le qualifieront de tyran. Aussi, lorsque Sen no Rikyû rentre au service de Hideyoshi (il deviendra son plus proche confident et gagnera son respect), c'est la rencontre de deux personnages radicalement opposés, jouissant chacun à leur niveau d'une grande notoriété, et que le protocole va obliger à cohabiter. Vous l'aurez deviné, cela ne se fera pas sans heurts et pour illustrer ce propos, voici sans plus attendre le récit de ce fameux épisode des volubilis.

Sen no Rikyû avait dans sa propriété de Sakai (près d'Osaka) de magnifiques plants de volubilis blancs qui jouissaient d'une belle réputation dans toute la région. Hideyoshi décida un jour d'aller en admirer la floraison et fît avertir le maître de thé de sa venue prochaine. Le jour de la visite arrivé, Rikyû se leva de bonne heure pour préparer le jardin et coupa minutieusement toutes les fleurs. Lorsque Hideyoshi arriva, des volubilis, il ne trouva que les feuilles... fou de colère, il rentra précipitamment dans le chashitsu à l'intérieur duquel Rikyû l'attendait. A peine avait-il franchi le seuil de la porte, qu'il aperçut accroché dans le tokonoma, un vase dans lequel trônait la plus merveilleuse fleur de volubilis... L'histoire se finit bien cette fois-ci, mais quel courage pour oser jouer un tel tour au Taïko : plus d'un avait déjà perdu la tête (au sens propre) pour bien moins que cela ! Cela dit ce ne sera qu'une question d'années, puisque le 28 février 1591, Rikyû se fait seppuku (suicide rituel honorifique) sur ordre de Hideyoshi.

Rikyû avait donc sélectionné la plus belle fleur et l'avait intentionnellement mise en scène, à une place d'honneur, à l'intention de son invité et suzerain. Nul doute qu'il ait agi en connaissance de cause, et devait avoir prévu la véhémente réaction de son invité, il s'en est sans doute même amusé. Bref, derrière ce pied-de-nez fait au régent, c'est une approche toute personnelle à la fleur (mais aussi et surtout à la vie) que Rikyû nous révèle. Plutôt que de chercher la profusion, l'accumulation et l'ostentation, sachons voir la beauté des choses simples et retrouver le bonheur des simples choses.

 


le 100508 : bienvenue chez moi !
2 personnes m’ayant dernièrement contacté pour venir visiter mon petit jardin dans le courant de l’été, je me suis dit que peut être d’autres personnes seraient intéressées, bien que plus de la moitié du jardin ne soit pas terminée (mais un jardin est-il un jour terminé ?). Alors officialisons la chose : si vous passez près de Soustons (40140), sachez que vous êtes les bienvenus ! La visite est gratuite, il suffit juste de me contacter par email pour convenir d’un rendez-vous.

 


le 100508 : une nouvelle page d’accueil «informative»
Bienvenue sur cette nouvelle page d’accueil ! Plus informative, plus personnelle (rédigée à la première personne) j’y consignerai ce que bon me semblera, selon l’actualité du site, mon humeur et de manière irrégulière. Un blog ? ...pas au sens strict du terme, mais plutôt un moyen d’humaniser davantage mon propos, de passer outre la «barrière électronique» qui me sépare de vous, mon lectorat. Certains d’entre vous n’ont d’ailleurs pas attendu cette nouvelle page pour entamer une correspondance plus ou moins assidue. Je réponds à chacun des emails que je reçois, avec parfois avec un peu de retard et je m’en excuse (ah ce fichu temps qui me manque !). Cette page pourra par exemple servir à répondre à plusieurs personnes au sujet d'un même thème.
Bref, j'’espère qu’elle vous sera utile !




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